FPV Race 28

La FPV Race 28 s’est déroulé le week-end du 6 et 7 juin 2015 du côté de Chartres et on peut dire que c’est de là que tout à commencé pour le FPV Racing !

Cédric Chauveau et Benedict Croquet avec la collaboration du Club d’Aéromodélisme de Chartres ànt organisés une course avec un peu plus de 100 pilotes sur un week-end, chose qui n’avait encore jamais été faites et pour cela ils ont utilisés les émetteurs (de 25 mw) et récepteurs développés par ImmersionRC et qui serait dévoilés pour la première fois ce jour là et en avant première mondiale ! Ce fut l’apparition du Raceband, qui permettra de faire voler 6 pilotes en même temps.

Avec au programme course de drones (FPV Racing) bien sur mais également une « exposition » en plein air avec des boutiques, permettant de pouvoir poser des questions et acheter du matériel.

ce fut également l’occasion de revoir StudioSPORT qui deviendra plus tard un de nos partenaires

et d’autres boutiques

L’accès au terrain de vol était réservés aux pilotes et personnes licenciées FFAM

Le matériel

Les TX Vidéo (émetteurs) Raceband ont été fournis par ImmersionRC juste avant les courses et émettaient en 25 mw afin d’être compatible avec la législation française et pour recevoir le signal vidéo, des RX vidéo (récepteurs) Duo5800 v4.1 Diversity dotés d’antennes patch de 8 dBi étaient installés en haut de trépieds et mis devant les pilotes.

A côté de chaque pilote il y avait un « co-pilote », la FFAM ayant obtenu la dérogation de ne pas avoir à mettre en place un système de double commande comme l’exigeait la réglementation en vigueur à ce moment.

chaque drones avaient avec un autocollant avec le numéro du pilote (qui avaient un dossard)

Déroulement des courses FPV Racing

Avant le lancement des courses petite réunion entre les organisateurs et les pilotes pour rappeler le règlement et les consignes de sécurité.

Des personnes (opérateurs drones) vêtues de gilets jaune fluorescent et d’un casque se chargeaient d’aller mettre en place les drones sur la piste de décollage, seuls ces personnes étaient autorisés à aller sur le terrain de vol.

En cas de crash du drone, le pilote désarme les moteurs et ces opérateurs drones vont ramasser le drone et si le drone semble pouvoir décoller il est posé sur une petite planche et un geste est fait devant la caméra du drone pour montrer au pilote qu’il peut décoller à nouveau, en cas de problème un autre signe est fait et le drone est « évacué ».

Place aux courses

Nous avons donc pu assister à de merveilleuses courses, certains drones équipés de batteries LiPo 3S et d’autres en 4S mais comme le parcours était technique ce n’est pas forcément les plus rapide qui ont gagné, il fallait aussi de l’agilité !